Corapporteur d’une mission parlementaire sur le financement de l’école privée, le député Paul Vannier (LFI) dénonce l’« opacité » de certaines subventions, de même que l’indigence des contrôles opérés par l’État. En pleine affaire Oudéa-Castéra, il insiste sur l’urgence de revoir le système de financement de fond en comble.

 

et responsable du programme « éducation » du candidat insoumis Mélenchon, le député Paul Vannier n’avait qu’un objectif en entrant à l’Assemblée nationale en 2022 : « Rouvrir le débat démocratique » sur le financement de l’école privée. Sans grand succès jusqu’ici.

Mais « l’affaire Oudéa-Castéra » rebat les cartes, veut croire l’élu de la France insoumise (LFI), par ailleurs conseiller régional d’Île-de-France. Outre la démission de la ministre, qu’il réclame, il espère boucler rapidement les travaux d’une mission d’information lancée en septembre sur le sujet.

Corapporteur, il dénonce « l’opacité » qui règne dans les relations entre l’enseignement catholique et l’État et compte déposer une proposition de loi pour revoir les critères de financement et contrer les logiques « séparatistes » qui pèsent, in fine, sur l’école publique.

Pour lire l’article en intégralité, cliquez ici : article de Mediapart

Article de Mathilde Mathieu. Photo de Nicolas Messyasz.

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